Match contre FC des Landes le 18 février 2018
Sous la grisaille, l’équipe B du Stade Saint Aubinais reçoit l’équipe première du FC des Landes.
L’objectif de cette rencontre est de rentrer aux vestiaires avec la victoire pour rester dans la course à la montée.
Les rouges et noirs rentrent bien dans leur match en ayant davantage la possession du cuir que leur adversaire.
Le groupe répond présent dans l’impact physique et joue avec rapidité. L’équipe montre un nouveau visage que celui de la fin de la phase aller.
C’est donc en toute logique que l’ouverture du score intervient en faveur de Saint Aubin grâce à une frappe de Dylan lancée auparavant dans la profondeur.
Malheureusement, l’équipe baisse de rythme par la suite et commence à concéder quelques occasions dangereuses mais stériles juste avant la mi-temps.
Mi-temps
Au retour des vestiaires , le Stade Saint Aubinais reprend le match en main.
L’impact physique est toujours présent, les combinaisons se mettent en place. Cela pousse l’équipe adverse à faire un geste de désarroi (main à l’entrée de la surface) pour stopper les offensives.
Un coup franc au coin gauche de la surface, tiré par Yo Torré, contré par un adversaire, permet au ballon de finir au fond des filets.
Ensuite l’équipe locale baisse à nouveau de rythme et concède à nouveau des occasions dangereuses avec un poteau suivi d’un bel arrêt de notre gardien.
C’est dans ce temps fort adverse que Flo Damoutte réalise un petit festival de dribbles réussi sur le flan gauche avant d’adresser un centre décisif, repris par Dylan du plat du pied.
3-0.
Ayant pris un nouveau coup sur la tête, l’équipe adversaire n’est plus dans son match. Ainsi, Vincent inscrit le quatrième but, sur corner, dont le ballon a été dévié par un co-équiper auparavant.
Puis Flo Damoutte marquera le cinquième but de la partie tout juste avant le coup de sifflet final d’une frappe au premier poteau.
Coup de sifflet final
L’objectif du jour étant atteint, l’équipe a exprimé sa joie dans le vestiaire avec un nouveau cri de guerre, réalisé par Mat Michel.
Quentin Thébault